PQ - (Joliette-Montréal) conseil national - janvier

From the PQ, some good ideas and some clunkers



After the recent tribulations that threatened to tear it apart, the Parti Québécois put on a convincing show of unity at its national council meeting last weekend. It would appear the party’s most active elements, the National Assembly members and riding-association executives who attend these periodic gatherings, have come to see the wisdom of Ben Franklin’s dictum that if they don’t hang together, ...

The crumbling Concrete Lady and the shameless PQ

PQ members of the National Assembly might still fear an election behind a leader so unpopular that her party is building up “the team,” its candidates, instead.


MONTREAL - To the strains of the guitar solo from ZZ Top’s Sharp Dressed Man, Parti Québécois delegates leaped to their feet to grab for T-shirts being tossed to them. It was the only moment of unforced excitement during the three-day weekend meeting of the PQ’s governing national council. The shirts, promoting the party’s new Web portal for members, were decorated with a drawing of PQ founder René L...

PQ: un conseil national sous le signe de l'unité

Marois finit par dire oui au «RIP» Mais le «référendum d'initiative populaire» devra être soumis à d'«importantes balises»


La chef du Parti québécois, Pauline Marois, applaudie par les délégués après avoir prononcé le discours de clôture du conseil national, hier, à Montréal. Au terme d'un conseil national...

Le PQ à l’agonie

Nous sommes unis, la joie brille dans nos yeux...

Une farce au caractère tragique ou une tragédie à l’allure de farce ?


À en croire les propagandistes du PQ, le parti serait plus uni que jamais derrière Pauline Marois, promue « Dame de béton » pour la circonstance. Pourtant les Québécois sont particulièrement placés pour savoir combien le béton est friable, surtout celui qui leur tombe sur la tête au viaduc de la Concorde ou dans le tunnel Ville-Marie, et c’est sans compter celui qui s’effrite sous les roues de leur voiture dans l’échan...

Conseil national du PQ

500 péquistes soulagés



- «Nous sommes unis!» - Pauline Marois - Attaques contre Harper - Le SPQ libre se rallie à Pauline Marois

Ramons, ça presse



« Vous l’avez, vous, la solution? Alors, sortez-la vite, ça presse. Sinon, c’est pas la peine. Faudrait fermer sa gueule et ramer. En ramant, on finira bien par s’organiser. « Oui mais j’aime pas le capitaine. Il est trop gros. Il est trop souriant. Pas assez près du peuple. Trop intellectuel. Trop à gauche. Trop à droite. Trop ceci. Pas assez cela. » Décidément notre recherche d’un messie ne nous quittera donc jam...

La seule politique possible

Le véritable problème du PQ, c’est d’accepter de dissocier la prise du pouvoir de la réalisation de l’indépendance


Réponse à l'article Mme Marois n’aura pas réussi à rassembler Monsieur Verrier, Pauline Marois, si elle l’avait voulu, aurait pu faire même mieux que Parizeau. Souvenez-vous, après avoir contraint Pierre-Marc Johnson à quitter la tête du PQ en novembre 1987, à part les p...

Les périls de Pauline



J'avais six ou sept ans. J'habitais la rue Workman, cette rue de Saint-Henri qui traverse la rue Atwater près du marché du même nom, à quelques pas seulement de la caserne des pompiers au coin de Workman et Vinet. Au-dessus de la caserne des pompiers, il y avait une immense salle où, tous les dimanches, on présentait une séance de cinéma. Nous, les enfants, nous ne pouvions pas aller au vrai cinéma, car les parent...

La UNE de Vigile

Encore une illusion?...



Dans cette statue de béton qui se fissure, quelque chose semble bouger... Encore une illusion?... - « Actuellement, M. Harper attaque de front nos valeurs : c’est vrai avec la justice, c’est vrai dans le cas du registre des armes à feu, c’est vrai sur tous les fronts. Il investit de façon considérable dans les armes de guerre, qui n’ont aucune retombée pour le Québec, et ce ne sont pas...

La «dame de béton» : le rebranding de Pauline Marois



Car pour l’instant, on ne peut que faire un parallèle avec l’état actuel des infrastructures québécoises. En pensant aux viaducs qui tombent, aux bâtiments qui se désagrègent et qui s’érodent, aux paraplumes qui s’effondrent sur l’autoroute Ville-Marie, Pauline Marois a-t-elle vraiment envie de se faire comparer à du béton?

Le peuple va s'occuper de Marois

Laissez-là venir à nous!



La seule chose qui est de béton chez Pauline Marois, ce sont ses oreilles. Tout le reste, y compris ce parti et son aile parlementaire, sont flasques et mous. Il n'y a rien à faire de cette bande de cryptofédéralistes. Leur solution? Ne rien faire! Attendre le Messie ou Godot, les conditions gagnantes, et instaurer la gouvernance souverainement sinistre. Ils sont fielleux et pensent être les seuls détenteurs de la ...

Harper, nouvelle cible de Pauline Marois



« Actuellement, M. Harper attaque de front nos valeurs : c'est vrai avec la justice, c'est vrai dans le cas du registre des armes à feu, c'est vrai sur tous les fronts. Il investit de façon considérable dans les armes de guerre, qui n'ont aucune retombée pour le Québec, et ce ne sont pas des choix que nous ferions. » — Pauline Marois

Le sombre vilain



Bernard Landry a laissé son jupon dépasser trop souvent pour ne pas être soupçonné de coupables arrière-pensées dès qu'il ouvre la bouche ou qu'il prend la plume.

Bernard Landry invité avec «respect» à se taire

N'empêche que le dernier sondage CROP publié hier dans La Presse ne rassurera pas vraiment les députés inquiets pour leur réélection.


Mais la CAQ demeure tout de même en tête (31%), devant le PLQ (29%) et le PQ (21%).

L'heure du réveil a sonné

Mettre le cap sur l'indépendance

ce contenu inapproprié dénommé «gouvernance souverainiste» celui-ci, à l'examen, paraît largement à l'origine de nos difficultés.


Il faut donc aller de l'avant et «mettre le cap sur l'indépendance» comme le disent si justement un grand nombre de militants. Il faut regarder le peuple droit dans les yeux et aller au pas de charge vers cet idéal d'abord fondé sur la fierté, la dignité et l'identité nationale, mais aussi sur d'évidentes considérations économiques.