Israël - Élection, mardi le 10 février 2009 - la montée aux extrêmes

"sans logique" vraiment?

Le cabinet Nétanyahou - Sans logique



Le cabinet présenté par le nouveau premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou est à la fois le plus hétéroclite et le plus pléthorique jamais formé. Il est aussi une provocation. En effet, l'ultra-nationaliste Avigdor Lieberman a hérité du ministère des Affaires étrangères. Cet homme à ce poste, c'est la version politique de l'éléphant dans le magasin de porcelaine. Il n'aura pas fallu plus de 24 heures à Lieber...

On the world stage, it's the Regressive Conservatives

In the Middle East, Ottawa has often taken a commendable pro-Israeli tilt. But our government has never been entirely one-sided. The Harper Conservatives have ended that tradition, becoming practically more pro-Israeli than Israel.


Stephen Harper has been taking a lot of flack from his right-wing base. The red-meat eaters say he's a lousy excuse for a conservative. But, on this one, the base is off-base. On fiscal matters, the Prime Minister may have demonstrated a liberal side. In these tottering times, most every leader is doing that. But look at the other indicators. Check the law-and-order fixation, the leisurely approach to the green...

Echoes of Israel in the graveyard of broken dreams



The larger lesson of this rather insignificant saga is how far the Harper government has moved to align Canada with Israel and its staunchest supporters. Canada is now the most "Israel, right or wrong" government in the world, except for the Israeli government itself.

Le triomphe des ultra faucons israéliens, terme ultime de la glaciation idéologique du sionisme



Par un singulier retournement de conjonctures, les deux principaux protagonistes du conflit israélo-palestinien se retrouvent, par une cruelle ironie de l’histoire, dans une situation de parfaite similitude: le Likoud et le Hamas, tous deux démocratiquement élus, se refusent tous les deux à admettre l’existence officielle de l’autre, l’honorable israélien d’une manière équivoque, le paria palestinien d’une manière non équivoque. Benyamin Netanyahu, le destructeur des accords israélo palestiniens d’Oslo (1993) préside en effet un parti dont la charte n’admet nullement l’existence d’un état palestinien, pas plus que les engagements internationaux d’Israël, vidés de leur substance durant son passage au pouvoir (1996).

Élections israéliennes: les conséquences d'un virage à droite



Difficile de savoir qui, de Tzipi Livni ou Benjamin Nétanyahou, sera en mesure de diriger le prochain gouvernement israélien tant le système des proportionnelles intégrales est complexe en Israël. Cependant, quoi qu'il advienne, le résultat de ces élections sonne avant tout comme une revanche et un retour de la droite nationaliste au sein du pays. Le véritable vainqueur de ce scrutin est finalement Avigdor Li...

Le choix de la paix



Israël, dit le premier ministre sortant, doit se retirer de Cisjordanie et partager le contrôle de Jérusalem avec les Palestiniens. Il doit aussi se retirer du plateau du Golan afin de conclure la paix avec les Syriens. «Nous devons prendre ces décisions, mais nous ne sommes pas prêts à entendre nous-mêmes que c'est là le choix qui s'impose.»

Élections israéliennes - Le fouillis



Pour faire court, on le répète, tout le monde entend débaucher tout le monde. Comme s'il n'y avait pas eu de campagne électorale. Comme si toutes les idées étaient égales entre elles. Comme si tous les programmes étaient équivalents. Ce triomphe du sophisme a ceci de désolant qu'il altère, entre autres choses, la valeur du vote. On s'y habitue. Et il en sera ainsi tant et aussi longtemps que la proportionnelle pure, et le fouillis politique qu'elle provoque, sera maintenue.

Israël: la tentation d'une ligne dure face à une Amérique plus pragmatique

La coalition n'aura plus le soutien inconditionnel de l'allié américain


Le nouveau gouvernement israélien devra donc gérer la pression américaine qui, semble-t-il, cherchera à réamorcer un début de paix dans cette région. Il lui sera plus difficile de jouer le «front du refus» quand, selon des sondages récents, l'offensive militaire sur Gaza a entamé le capital de sympathie d'Israël aux États-Unis. Y compris chez les juifs américains.

Humour juif...

L'homme de la situation...



Affiche électorale de Mme Livni à Jérusalem. À la recherche du successeur d'Olmert Plus de cinq millions d'électeurs sont appelés aux urnes ...

Élection, mardi le 10 février 2009

Gaza doit pleurer

Ils ne sont pas plus civils et certainement pas plus innocents que les habitants d'Hiroshima ou de Dresde.


Israël et le peuple Juif se retrouvent une fois de plus aux avant-postes de la guerre contre la barbarie et le terrorisme. Israël et le peuple juif doivent vaincre. C'est pourquoi Gaza doit pleurer. Pas faire semblant pour les télévisions étrangères mais réellement. Gaza doit pleurer des larmes de sang.