Écoles passerelles - Loi 115

Écoles passerelles

À quand le débat sur la vraie nature des choses?

on a adopté, sous bâillon, un projet de loi qui interdit les écoles passerelles tout en les rendant légales.


Discuter de la vraie nature des choses, c’est aussi se révolter de ce que la Cour soit intervenue cette fois contre une mesure ayant fait consensus à l’Assemblée nationale (un vote à l’unanimité !), et qu’elle ait fait preuve de militantisme judiciaire dans son interprétation «charitable» de l’article 23.2.

Oui si modernisation = renforcement!

Consensus on language needs modernizing

The problem with language policy in Quebec today -well, OK, one of the problems -is that it's often more cheap politics than sound policy.


The Gazette October 28, 2010 Sovereignist leaders know they can stir up votes by stirring up emotions over language. Accordingly, we hear an endless self-serving drumbeat of nationalist alarmism about French being "in danger," at least in Montreal. In his thoughtful essay on the facing page Tuesday, our colleague David Johnston pointed out that this "problem" is really a by-product of the success of Bill 101...

Unfortunately, Bill 102 isn't dead yet



Bill 115, the "light" version of Bill 103 that became law last week, does not replace the original, which remains before the National Assembly.

Quand on déconne pendant des décennies avec autant de suite dans les idées, c'est qu'on est engagé dans une stratégie de sape. BK excelle dans la rupture du "contrat républicain": la société avant le marché.

Quebec chooses language over self-interest

Quebec’s loss, Alberta’s gain, all because Quebec forces Alia’s son to be schooled in French.


Coercive language laws are counter-productive to a state’s prosperity.

Le Québec joue ses dernières cartes - Ce sera quitte ou double

Cette loi 115 est un coup de poing dans le ventre, une tarte au visage, un crachat, un croc-en-jambe


Avec le gouvernement Charest d’un côté, Harper de l’autre, les attaques envers les Québécois se multiplient. Elles portent fruit. Le Québec recule. Au lieu de faire front, les hauts gradés de l’indépendance font semblant de discuter stratégies. On ne s’étonne pas que leurs soldats désertent.

More English or less French?

English is enjoying a resurgence on the Island of Montreal as anglophones adapt and francophones flee to the suburbs


By DAVID JOHNSTON - While public hearings were being held last month in Quebec City on Bill 103, the language bill the National Assembly adopted in part last week as Bill 115, I appeared as a guest panellist on Je l'ai vu a la radio, Franco Nuovo's radio show on Radio-Canada out of Montreal. The topic had been neatly summarized as a provocative question by producers of the show: Is Montreal...

<i>My tailor is rich</i>



Il lui a fallu du temps pour réaliser que j'allais me tirer d'affaire en français. Bien sûr, malgré ma résistance, j'étais devenue bilingue entre-temps sans avoir jamais appris l'anglais ailleurs qu'à l'école française, dans la rue et dans la vie quotidienne.

On ne fait que commencer à afficher notre écoeurement

Guerre linguistique et bataille de la loi 103 (115)

La guérilla juridique d’Ottawa pour le libre choix au Québec


Non aux écoles passerelles. Non à un Québec bilingue. Oui à un Québec français, enfin libre. On ne fait que commencer à afficher notre écoeurement qui débouchera sur la proclamation de notre indépendance. Charest, St-Pierre et toute cette secte du nivellement canadian: dehors!

La loi 115 sera-t-elle contestée ?

Brent Tyler, avocat et ex-président d’Alliance Québec en entrevue à Isabelle le matin (Isabelle Maréchal)


La loi 115 sera-t-elle contestée ? Brent Tyler, avocat et ex-président d’Alliance Québec en entrevue à Isabelle le matin (Isabelle Maréchal) (BT apprécie Vigile.net, vers la 21e minute)

Sale job

Le problème est que l'opposition n'est jamais assez performante aux yeux de ceux qui sont insatisfaits d'un gouvernement.


Pauline Marois n'en est pas à sa première gaffe depuis qu'elle est devenue chef du PQ, mais c'est sans doute la plus spectaculaire. Le «quelque chose comme un grand peuple», lancé par René Lévesque le soir du 15 novembre 1976, est une de ces rares phrases qui sont allées droit au cœur de tous les Québécois. Dans le contexte du débat sur les écoles passerelles, il était clair qu'en parlant d'un «petit peuple», M...

No threat to the French language

Bill 115 limiting access to English schools expresses the cynicism of an aging government


AM Pfffft! That's the sound of a damp squib, an expression that describes the protest demo against Bill 115 held outside Premier Jean Charest's Montreal office on Monday by a nationalist coalition with more than 1 million members. Fewer than 1,000 diehards showed up. Even the wildly-inflated figure of 5,000 claimed by the organizers is anemic compared with the up to 60,000 who marched two weeks earlier ...

Un petit peuple?



Nous serions « un petit peuple ». L’expression lancée par Pauline Marois au moment des débats à l’Assemblée nationale sur le projet de loi 115 en a fait bondir plusieurs. Jean Charest a répliqué immédiatement que le Québec est un grand peuple. Il ne faut pas applaudir trop vite. Jean Charest est ici de mauvaise foi. Il a déformé la pensée de Pauline Marois qui ne faisait que rappeler une vérité élémentaire ...

Threat to French culture? Non



Graeme Hamilton - A law passed yesterday by the Liberal majority in Quebec's National Assembly is being described as an assault on the French language and a betrayal of the people. A crowd estimated at more than 1,000 protested against the legislation outside Jean Charest's Montreal office on Monday night, warning they would make the Premier pay. It sounds like pretty serious stuff, but in fact ...

Loi 115: une indigne capitulation



La majorité libérale a imposé hier, sous le bâillon, une loi indigne et contraire à la volonté exprimée par tous les gouvernements du Québec depuis 1982 jusqu'à ce 18 octobre, la loi ...

Écoles passerelles - L'indifférence



L'Assemblée nationale a adopté hier «aux petites heures du matin» la loi 115 sur les écoles passerelles. Malgré les emportements verbaux du côté des opposants, elle fut votée sans difficulté grâce à une certaine indifférence de la part de la population. Une indifférence inquiétante.

Troubles cardiaques

Bienvenue dans la seule province où l'on "vend" un droit constitutionnel aux plus offrants!


La question n'est donc vraiment pas de s'ériger contre l'acquisition d'autres langues, mais de savoir laquelle, du français ou de l'anglais, s'impose ici comme langue d'intégration.

Nostalgie rhodésienne du temps de Sir-Black-"geôlé"

Quebec chooses language purity over prosperity



Tasha Kheiriddin - Tuesday morning the Quebec government of Premier Jean Charest invoked closure to force Bill 115 through the province’s National Assembly. The legislation is a response to the Supreme Court’s striking down of a previous law, Bill 104, which would have curbed access to English education in the province. In Quebec, the only children who can legally attend English primary and second...

Marois s'engage à abolir la Loi 115

«J'en prends l'engagement formel»


La loi sur les écoles passerelles est adoptée après une nuit de débat

61 députés ont voté en faveur du projet de loi, 54 l'ont rejeté


La Presse canadienne - Le projet de loi 115, qui a aura pour effet de légaliser l'ac...

La paix linguistique «menacée»

L'adoption forcée du projet de loi sur les écoles passerelles ne peut que compromettre l'avenir du français, dénonce Thomas Mulcair


Québec — Le projet de loi 115 sur les écoles passerelles que le gouvernement Charest devait faire adopter cette nuit sous le bâillon menace la «paix linguistique» au Québec, croit l'ancie...

Langue, Indépendance, Révolution

La fin des illusions

Se pourrait-il que Pierre Bourgault ait eu raison sur toute la ligne ?


Penser qu'on pouvait faire l'économie d'un certain radicalisme pour changer la société était une utopie.

Les gros mots



Hier, la discussion sur la langue a donné lieu à une guerre d'accusations excessives, tant de Pauline Marois que de Jean Charest, sans rapport avec la réalité des choses. *** Les partis avaient promis de tenir des débats plus civilisés à l'Assemblée nationale. Une autre promesse non tenue?! Hier, la discussion sur la langue a donné lieu à une guerre d'accusations excessives, sans rapport avec la réalité des cho...

Anglos should challenge new school language law



Premier Jean Charest's government has taken a small and temporary step back toward common sense on language of education with Bill 115, introduced yesterday and destined for quick passage by the Liberal majority. This bill is, in itself, less ill-considered and less damaging than Bill 103, which it replaces. The bad news: The troubling parts stripped out of Bill 103 will be back. Having drifted on this issue until...

Une «trahison» mobilisatrice

Quelques milliers de personnes manifestent contre le projet de loi 115


Mélissa Guillemette - «Français! Français! Français!», scandaient quel-ques milliers de personnes massées devant le bureau montréalais du premier ministre Jean Charest, hier soir. Ils protestaient contre le projet de loi 115, ancien projet de loi 103, qui devait être adopté au petit matin, sous bâillon. Les orateurs de la soirée promettent que ce n'est qu'un début de la mobilisation populaire dans ce dossier. «Ch...

Écoles passerelles

Le bâillon ne fait pas taire l'opposition



À Québec, les débats qui doivent mener à l'adoption sous le bâillon du

Écoles passerelles

Manifester pour la langue française



Alors que le gouvernement de Jean Charest s'apprête à

La loi 104 était la «solution parfaite»...

les Québécois auront droit cette semaine à la PIRE des solutions: l'application par voie législative du jugement kafkaïen de la Cour suprême...


La ministre l'a dit elle-même: la Loi 104 était la solution parfaite! Pendant que les élus «débattent» à l'A...

Québec force l’adoption du projet de loi sur les écoles passerelles



La Presse Canadienne a appris par ailleurs que certains administrateurs de ces écoles passerelles sont de généreux contributeurs à la caisse du Parti libéral du Québec (PLQ). Depuis 10 ans, 22 dirigeants de six de ces écoles de la région de Montréal ont versé au total 110 880 $ au PLQ. L’un d’entre eux, Adam Turner, du Lower Canada College, a presque donné le maximum légal, soit 27 000 $ sur une possibilité de 30 000 $.