Je persiste et signe concernant mon marché METRO.
28 juillet 2009
@ Denis Julien, de Lotbinière:
Il y a moyen, l'été, par exemple, d'acheter des produits du terroir québécois directemment, sur les marchés publics, en plein air. Et le reste du temps, on peut encourager les plus petites épiceries, celles qui ont une approche moins supermarché.
On peut tout de même aller chez Métro, mais pour y acheter, par exemple, des produits de nettoyage... ou du papier hygiénique en bonne quantité, en ces temps où Jean Charest profite de son 3e mandat comme premier ministre...
En ce qui concerne la vente de Provigo, c'était le PLQ qui était au pouvoir.
C'est qu'au yeux du PLQ et des imbéciles qui votent pour eux, une économie saine et pleine de vitalité, c'est une économie où à peu près toutes les entrerprises sont sous contrôle étranger, et où seuls les patrons amis du régime, s'enrichissent (même pas le citoyen-consommateur, pourtant traditionellement si important, dans ce genre de pensée économique)...
En fait, sous Jean Charest, l'économie du Québec est en train de s'Ontarioriser... Je veux dire, si on enlève l'industrie automobile, qui est un satellite de l'industrie automobile américaine (qui va présentement mal) à l'Ontario... Il leur reste quoi? Pas énormément de choses, hein?
Le plus drôle, c'est de voir Johnny Charest parler comme s'il était un économiste visionnaire, alors que l'avocat de région qu'il est, qui en plus ne s'est aucunement distingué dans sa profession à lui, n'y connaît tout simplement rien!
Ah! Aux dernières élections, principalement, les uns ont voté pour Johnny, les autres ne se sont pas donné la peine d'aller voter (ou l'ont fait pour d'autres partis que les deux vieux partis)...
Alors, la plupart des électeurs québécois, soit en agissant de mauvaise façon, soit en omettant d'agir, ont fait le cadeau d'un 3e mandat, à l'homme le plus méprisé du Québec, à peu près... Alors, nous devons en assumer les conséquences, notamment sur le plan économique, je le crains.