Tremblay tend un piège à Louise Harel?

Tribune libre

Alors, notre bon maire parle asez bien l'anglais pour bien paraître devant ses maîtres à penser et de là imposer sa loi à Louise Harel qui menace son trône, à scandales, il faut bien le dire et l'écrire.Qu'y-a-t-il de plus naturel pour celui qui collabore avec ses maîtres à penser, «en anglais bien sûr, de parler la langue de ses maîtres aussi bien qu'eux? De là à exiger un débat en anglais avec Louise Harel,dans lequel on verrait aussi Richard «lestramways» Bergeron, il n'y avait qu'un pas, vite franchi, par celui qui send lui échapper le poste de maire de Montréal qu'il occupe faute d'un adversaire sérieux lors de la dernière élection. Lorsqu'il voit arriver une adversaire capable de le défaire, ce qui arrivera j'en suis certain,lors de la prochaine élection municipale de Montréal, il cherhe un moyen de dévaloriser cette adversaire dans un débat dans la langue de ses maîtres, dans une «chaîne de télévision de langue anglaise, bien sûr!Croyant avoir trouver la réponse aux nombreux scandales qui l'assaillent, et qui nuiront, à n'en pas douter, à sa réélection, il ne trouve rien de mieux que provoquer une rencontre des «chefs», ou des «candidat-e-s» à la mairie de Montréal, sachant qie Mme Harel ne peut s'exprimer, comme lui dans la langue de ses électeurs et de ses électrices de l'ouest de Montréal. Mais, alors qu'il pouvait compter sur le vote «anglophone» de l'ouest de l'île de Montréal,il n'ignore pas que seuls quelques arrondissements peuvent maintenant répondre à ce critère, ce qui le privera d'une victoire autrefois assurée.Ceci dit, est-ce que Mme Harel devrait participer à un débat, d'où il est certain, elle sortirait perdante, puisqu'elle ne possède pas les rudiments cette langue devant lui permettre de bien saisir les questions afin de pouvoir bien exprimer ses réponses. Mais, est-il vraiment nécessaire qu'elle s'abaisse à ce combat de «coq» pour remporter l'élection de Montréal? Et si elle y participait, considérant que Montréal est une ville de langue «française», nous considérons qu'elle doit le faire en français, en exigeant, tout simplement, qu'on lui donne les services d'un «traducteur», ce qui lui éviterait de se placer en situation d'infériorité par rapport aux deux autres candidats qui, eux,possèdent les connaissances nécessaires des rudiments de cette langue afin de participer à ce débat. À partir de cette petite réflexion, nous suggérons fortement à Mme Harel de faire sienne notre suggestion, en exigeant qu'un traducteur puisse faire la traduction, pour elle et pour les auditeurs et MM. Tremblay et Richard Bergeron.Jacques Bergeron, Ahuntsic,Montréal


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4 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    22 septembre 2009

    Plus colonisé et aliéné que Tremblay tu meurs! C'est sous sa gouverne de la ville de
    Montréal avec la complicité de John James Charest de Westmount que le français a
    commencé à dégringoler à Montréal. Deux larrons libéraux en foire (quoi de neuf!) qui
    travaillent toujours contre nos intérêts pour plaire à la petite minorité anglophone du
    West Island. Dégueulasse! Quand allons-nous faire sentir à cette minorité rhodésienne
    que nous sommes majoritaires au Québec et qu'ici, c'est en français que ça doit se
    passer? Qu'elle s'intègre (cette minorité) ou quelle déménage en
    Ontario! Madame Harel devrait refuser ce débat en anglais, ça n'a aucun sens! Accepter un traducteur, ce serait un aveu de faiblesse et de déni de soi. La traduction,
    c'est bon à Ottawa mais pas ici au Québec! Il faut dire non en tout temps au bilinguisme assimilateur et surtout il ne faut pas créer de précédent à Montréal parce
    que les fédéralistes n'attendent que ça pour nous diluer dans leur "melting pot" à
    l'américaine.
    André Gignac
    22-9-09

  • Marcel Haché Répondre

    22 septembre 2009

    La crédibilité de Louise Harel ne dépend pas de sa capacité à bien parler anglais. Le peu de crédibilité de Tremblay n’a rien non plus à voir avec sa capacité de parler anglais.
    Si même Louise Harel parlait anglais comme la reine, y aurait-il un seul anglo pour ne pas se rappeler qu’elle avait mené un dossier qui les avait si souverainement fait… trembler dans leurs culottes.
    Qu’elle les envoie poliment promener quelque part.

  • Caroline Moreno Répondre

    21 septembre 2009

    Est-ce qu’on s’attend du maire de Paris à ce qu’il débatte de sa ville en anglais ? Montréal est une ville du Québec qui possède le français comme seule et unique langue officielle. Un débat en anglais s’avère un non-sens. Pourquoi critiquer Madame Harel parce qu’elle ne parle pas anglais dans un Québec français? Rappelons qu’il n’est pas interdit aux Anglais d’apprendre le français.

  • Michel Guay Répondre

    21 septembre 2009

    Louise Harel devrait refuser un débat en anglais car tous les citoyens du Québec doivent parler notre langue nationale
    Pour ce qui est de Gérald Tremblay c'est un Ontarien, né et instruis en Ontario donc un angliciseur en mission au Québec au service des colonisateurs, alors pas surprenant qu'il combattent pour ceux qu'il sert contre la nation Québecoise
    ce piège d'angliciseur et d'insulteur contre les francophones Québecois se refermera contre lui, sur lui et même en dessous de lui