MONDIALISME

La coterie des pelleteux de nuages

Propos sur la race et le métissage

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Tribune libre

La science et le simple bon sens ont démenti depuis longtemps la plupart des dogmes de la culture dominante du politiquement correct. Mais la tentation de l’utopie étant plus forte que la raison et la réalité, les mondialistes s’entêtent à promouvoir leurs idées fausses sans aucun souci pour les conséquences.


Prenez la race par exemple, combien de fois avez-vous entendu dire que les races n’existent pas, que la race étant une construction sociale, chaque personne, quelque soit sa couleur, est identique aux autres. Soyons donc aveugle à la couleur et par souci d’égalitarisme donnons-nous la main et chantons en cœur comme Michael Jackson : « Qu’est-ce que ça peut bien faire d’être noir ou blanc ! »


Ne soyez pas surpris par conséquent si à Montréal et ailleurs, on voit partout des couples métissés. La propagande… ça marche ! On met tout beau et du moment que tout le monde est foncièrement pareil pourquoi se casser la tête ? Mélangeons-nous, marions-nous. Vive le mélange des couleurs ! C’était Benetton, souvenez-vous, l’un des premiers à promouvoir cette idée.


Il y a eu aussi le film du réalisateur, Stanley Kramer, Devine qui vient dîner… avec le charmant Sydney Poitiers que tout parent voudrait avoir comme gendre. Plus récemment, on a vu, Qu’est-ce qu’on a bien pu faire au Bon Dieu, un film super drôle qui donne envie de donner la main de sa fille au premier Chinois venu (1).


Toujours en avance sur son temps, Jacques Attali, en 2014, voyait se dessiner au-delà du chaos que le mélange des races pouvait semer, « la promesse d’un métissage planétaire, d’une Terre hospitalière à tous les voyageurs de la vie » (2). Car c’est bien le Jardin d’Éden que les mondialistes comme J. Attali veulent réaliser envers et contre tous à travers l’effacement des frontières et des nations, le mélange des populations, le multiculturalisme et le métissage forcé.


Eh bien, navré de décevoir ces dangereux rêveurs, mais les choses ont bien changé depuis vingt ans. Aucun généticien ou anthropologue digne de ce nom n’oserait dire aujourd’hui que les races n’existent pas et que nous sommes tous pareils.


Comme le dit en effet, Wiktor Stoczkowski, anthropologue, directeur d’étude à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), chercheur d’anthropologie sociale du Collège de France : « Jusqu’au début des années 2000, la génétique des populations alors en vogue semblait démontrer que les races humaines n’existent pas. La situation a changé au début du XXIe siècle, avec l’invention de nouvelles méthodes d’exploration du génome humain. (3) »


Ainsi, si nous sommes égaux devant la loi et devant Dieu, nous ne sommes pas du tout égaux devant la maladie et les médicaments. Le cancer de la prostate, par exemple, est « raciste » puisqu’il frappe les Noirs trois fois plus souvent que les autres sous-espèces. De même, le médicament rosuvastatine contre le cholestérol est « raciste » envers les Chinois, les Vietnamiens, les Japonais, les Coréens et les Philippins, car ces races qui font partie de la sous-espèce asiatique, qu’on appelait autrefois la « race jaune », réagissent très mal à ce médicament. Enfin, le Bidil, un médicament traitant l’insuffisance cardiaque est également « raciste » puisque c’est le premier médicament réservé à une seule catégorie d’humain, celle des Noirs. Ce sont d’ailleurs les Noirs eux-mêmes les premiers à réclamer des études et des essais cliniques spécifiques à leur race, car les réactions aux médicaments varient d’une sous-espèce à l’autre, voire d’une race à l’autre (4).


Or, si la maladie et les médicaments agissent différemment sur les différentes races humaines, c’est bien parce que les races existent et qu’elles sont différentes génétiquement. Ce n’est pas une invention des obscurantistes qui veulent introduire les discriminations entre les hommes, mais une réalité scientifiquement démontrée. Et cette différence biologique ne se limite pas aux médicaments et aux maladies.


De fait, comme l’a notamment montré Robert Plomin, le plus grand spécialiste au monde de la génétique comportementale, l’hérédité joue aussi un rôle majeur dans le comportement, l’intelligence et les capacités cognitives en général. On peut même se servir aujourd’hui des différences dans l'ADN pour prédire les traits psychologiques d’une personne, ses chances de succès à l’école et dans la vie. Plus important encore, Plomin a montré que rien ne change les prédispositions génétiques que nous héritons (5)(6). Si vous n’avez aucun talent musical, aucune éducation ne fera de vous un Mozart. Jean-Jacques Rousseau a tort, l’homme n’est pas une page blanche à la naissance sur laquelle on peut écrire ce que l’on veut pourvu que les circonstances sociales soient appropriées (7). Pour faire court, n’est pas ingénieur qui veut, la nature est bien plus forte que la culture.


À propos des différences raciales, voici ce que dit l’honorable scientifique canadien, J. Philip Rushton :



Pendant les vingt dernières années, j’ai étudié les trois grandes sous-espèces que sont les Orientaux (Asiatiques de l’est, mongoloïdes), les Blancs (Européens, caucasoïdes) et les Noirs (Africains, négroïdes)… En ce qui concerne la grosseur du cerveau, l’intelligence, le comportement sexuel, la fertilité, la personnalité, la maturité, la longévité, les taux de criminalité et la stabilité de l’institution familiale, j’ai trouvé que les Asiatiques se situent à une extrémité du spectre, les Noirs, à l’autre extrémité, et les Blancs, entre les deux. En moyenne, les Asiatiques connaissent une maturation plus lente, sont moins fertiles, moins actifs sexuellement, moins agressifs, et ont un cerveau plus gros et un QI plus élevé que les autres races. Les Noirs sont à l’opposé. Les Blancs se situent entre les deux, mais plus près des Asiatiques que des Noirs. J’ai montré que ce schéma à trois voies des différences raciales se vérifie tout au long de l’histoire et à travers les peuples. Il est donc impossible de faire comme si il n’existait pas […] (8).



De fait, toutes les races et tous les individus ne sont pas interchangeables. Il existe bel et bien des races et des individus à l’intérieur des races plus intelligents que d’autres, plus dociles ou plus portés génétiquement à la violence et au crime (9)(10). C’est l’évidence même pour la plupart des gens qui se frottent à la réalité raciale sur le terrain, pourquoi le nier ?


L’inégalité étant une loi de la nature inscrite dans nos gènes, ce n’est pas par le métissage, la discrimination positive et en nivelant vers le bas les résultats scolaires que vous allez la faire disparaître. Vous allez plutôt brimer les plus intelligents et les plus méritants, et par le fait même, affaiblir la cohésion de la société, la rendre moins compétitive et l’appauvrir à tous points de vue (11)(12).  


Voici ce que dit à ce propos, un collectif de scientifiques spécialisés dans ce domaine :



Il apparaît que les tenants de la détermination essentielle des capacités par le milieu ou la « culture seule » sont avant tout des idéologues enfermés dans leurs idées fausses, indifférents aux leçons répétées de l’expérience, toujours prêts à mettre en œuvre des politiques grosses de frustrations de toutes sortes pour les races concernées (aux États-Unis, les Blancs et les Noirs avant tout) : des politiques qui donnent forcément lieu à un mélange catastrophique de chaos vaguement contrôlé à base d’aides sociales, d’effets dysgéniques pour l’ensemble de la population et de totalitarisme à travers l’intervention invasive de l’État, comme pour faire disparaître toute trace de ce qu’est une société libre et ordonnée. (13)



Au Brésil, par exemple, l’un des pays les plus racialement mélangés et métissés au monde, la violence, la criminalité récidiviste et la pauvreté sont la norme. De fait, les pays les plus fortement métissés comptent parmi les pays les plus chaotiques au monde. Or, pourquoi diable voudrions-nous les imiter ? Imitons plutôt les pays les plus racialement homogènes comme le Japon, la Corée du Sud et Singapour, des pays où la sécurité et le niveau de vie moyen sont les plus élevés au monde.


Le public ignore ces faits étayés par des scientifiques de renom, comme Henry Garrett, Arthur Jensen, J. Philippe Rushton, Richard Lynn ou encore Charles Murray et Richard J. Herrnstein, parce qu’ils sont occultés par les autorités progressistes au pouvoir, les médias aux ordres et autres agents sociaux, notamment du domaine des droits de l’homme, de l’antiracisme, des droits civiques, des bonnes oœuvres, des sciences humaines (14), de l’éducation, des arts et de la musique, etc.


À l’instar des belles âmes, John Lennon et Raymond Levesque, ces messieurs dames de la coterie des pelleteux de nuages, qu’une élite hostile a instrumentalisés, n’ont d’yeux que pour un monde en paix où les hommes vivront d’amour ; un monde sans race, ni frontière, ni religion, ni injustice ; un monde où toute violence aura disparu et où « toutes les créatures seront réconciliées » ; un monde « où le loup habitera avec la brebis, le tigre reposera avec le chevreau ; veau, lionceau, bélier vivront ensemble et un jeune enfant les conduira ».


Cette belle chimère, présente dans l’eschatologie des grandes religions (15), se réalisera peut-être un jour, qui sait, mais en attendant ne mettons pas la charrue devant les bœufs, ne gâchons pas la sauce avec des politiques en aval qui font plus de mal que de bien, changeons-nous d’abord nous-mêmes en amont, et les changements escomptés couleront de source sans avoir à les imposer par la force.


Et puis, inutile de le répéter, d’un point de vue éthique, personne n’a le droit de façonner les humains à son image et de reconstruire la société sans le consentement du public, voire contre sa volonté, par des moyens non démocratiques et parfois violents comme l'invasion migratoire du tiers-monde, le déni de la réalité raciale, le multiculturalisme et le métissage forcé par la propagande mensongère. On a vu le résultat avec les bolchéviques. Lénine et Trotskie, né Lev Bronstein, prétendaient aussi rendre les gens heureux par la force, mais 30 millions de morts plus tard, ils n'avaient toujours pas réussi (16).


Par prudence, on est mieux de faire attention, car c'est toujours la même gang qui tire les ficelles. 


Références et notes


1. Hervé Ryssen (2019). Satan à Hollywood. La christianophobie au cinéma. Livre et DVD. Baskerville.


2. Laurent Obertone (2018). La France interdite. La vérité sur l’immigration. Ring, p. 372.


3. Wiktor Stoczkowski (le 17 octobre 2018). L’antiracisme doit-il craindre la notion de race ? Maison des sciences de l’homme (MSH) Alpes, YouTube.


4. Ibid.


5. Plomin, Defries, McClearn et Rutter (1999). Des gènes au comportement. Introduction à la génétique comportementale. Adaptation et traduction de la 3e édition américaine par Patricia Arecchi. Université De Boeck.


6. Robert Plomin (2018). Blueprint. How DNA makes us who we are. Allen Lane.


7. Steven Pinker (2003). The Blank Slate. The Modern Denial of Human Nature. Penguin.


8. J. Philip Rushton (2015). Race, évolution et comportement. Institut de Recherche Charles Darwin.


9. Helmuth Nyborg (2003). The Scientific Study of General Intelligence. Tribute to Arthur N. Jensen.


https://www.sciencedirect.com/book/9780080437934/the-scientific-study-of-general-intelligence#book-description


10. Charles Murray. (2020). Human Diversity. The Biology of Gender, Race, and Class. Twelve. Hachette Book Group.


11. Laurent Obertone (2018). Chapitre 6, les conséquences d’une baisse nationale du QI. La France interdite. La vérité sur l’immigration. Ring, p. 351 à 374.


12. Michael Jonas (2007).The downside of diversity. A Harvard political scientistfinds that diversity hurts civic life. What happens when a liberal scholar unearths an inconvenient truth? The Boston Globe.

https://archive.boston.com/news/globe/ideas/articles/2007/08/05/the_downside_of_diversity/


13. (2019). QI et races. Le cauchemar des multiculturalistes devant le réel. Collectif. Avec un texte d’Henry Garrett et une présentation des recherches d’Arthur Jensen, de J. Philippe Rushton, de Richard J. Herrnstein, de Charles Murray, de Richard Lynn, de Tatu Vanhanen et d’autres auteurs. Akribea.


14. Noretta Koertge (1998). A House Built on Sand. Exposing Postmodernist Myths about Science. Oxford University Press.


15. Hervé Ryssen (2013). La guerre eschatologique. La fin des temps dans les grandes religions. Baskerville.


16. Richard Pipes (1995). Russia Under the Bolshevik Regime. Vintage Books.



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2 commentaires

  • Réjean Drouin Répondre

    1 juin 2020

    "Les pays les plus fortement métissés comptent parmi les pays plus chaotiques .. imitons les pays les plus radialement homogènes comme le Japon, la Corée du Sud et Singapore"


    C'est carrément de la propagande néo-Nazi. Citer des études scientifiques avant et après cette phrases ne la justifie pas. C'est de la pure incitation à la haine et à la violence.


    • Alexandre Cormier-Denis Répondre

      2 juin 2020

      M. Drouin,

      Votre faites erreur. Il n'y a aucun appel à la violence ni à la haine dans le texte de M. Danten.


      Par ailleurs, la tribune libre de Vigile n'a pas vocation à devenir un énième supplétif du politiquement correct des médias de masse subventionnés par l'État fédéral. C'est un espace de débat qui doit demeurer ouvert aux diverses opinions, même les plus choquantes selon les critères étriqués du débat public québécois actuel.

      Merci de votre compréhension.