Une capitulation tragique qui ne parviendra même pas à satisfaire les créanciers de la Grèce
Syriza était bien un leurre européiste : L’UPR avait raison sur tout
Par ce texte – intitulé « Actions prioritaires et engagements » -, le gouvernement grec vient de s’engager à adopter la quasi-totalité des mesures proposées par les créanciers le 26 juin, qu’il avait alors pourtant rejetées, en annonçant la tenue d’un référendum truqué.