Quand la GRC ferme les yeux...
Si la GRC avait su, grâce à des agents infiltrés au sein de mouvements extrémistes ou partitionnistes anglophones du Québec, qu’un attentat se préparait contre Pauline Marois, en aurait-elle informé la SQ et le SPVM chargés d’assurer la sécurité de la première ministre élue le soir du 4 septembre 2012 ?