Préserver l'avenir
Tout cela ne signifie pas que la population croira soudainement M. Charest. Il y a eu tellement de mensonges et de promesses brisées depuis 2003 qu'il aura bien du mal à convaincre ceux qui ne veulent même plus entendre ses explications.
Même s'il a conservé une certaine popularité au Canada anglais, «l'odeur de corruption qui émane de la commission Bastarache» a sans doute anéanti le peu d'espoir d'un retour sur la scène fédérale qu'il pouvait encore entretenir, écrivait hier un collègue chroniqueur du National Post.