La nouvelle doctrine de l'irresponsabilité ministérielle : The Minister can do no wrong
«No fault» ministériel ?
Quand le bureau du premier ministre veut se plaindre d’une caricature, il n’hésite pas à donner un coup de fil à la grande patronne de Transcontinental. Mais quand il faudrait secouer la torpeur de deux ministres pour leur faire prendre conscience que quelque 500 citoyens sont prisonniers d’un blizzard sur un tronçon d’autoroute, il s’abstient.