Cependant, l’entente permettait de venir réparer l’erreur du gouvernement Charest, qui avait privatisé la ressource
ANTICOSTI
Mes collègues ont renié leur parole et leurs convictions
Martine Ouellet explique pourquoi elle s’est abstenue de voter en février pour les trois forages
C'est en septembre 2011 que l’enjeu d’Anticosti est devenu majeur, alors que Le Devoir publiait un article avec un titre qui fit l’effet d’une bombe : « 40 milliards de barils de pétrole à Anticosti ». Le texte parlait des données préliminaires obtenues par Junex et Pétrolia, et il soulignait que si la ressource se confirmait, cela pourrait équivaloir à des dizaines, voire des centaines de milliards de dollars.