Le syndrome Gérald Tremblay
Lorsque Louise Harel est arrivée au bras de Benoit Labonté le 3 juin, elle ne se doutait pas que la lutte à la mairie de Montréal serait aussi dure et aussi sale. Le 3 juin, elle est entrée, la tête haute, dans la grande salle du Marché Bonsecours. Elle était tout sourire. Benoit Labonté aussi. Il avait accepté de lui céder son poste de chef de Vision Montréal en échange de la présidence du comité exécutif si e...