Sua maxima culpa
Le mea-culpa du maire
Gilles Vaillancourt, l’ex-maire omnipotent de Laval, aujourd’hui emprisonné dans l’attente de sa sentence, est arrivé jeudi au palais de justice de Laval, qu’il avait inauguré avec pompe et fierté en 1992, en serrant des mains. Celles des badauds, mais aussi celles des enquêteurs de l’UPAC, qui l’ont arrêté en 2013, et des procureurs de la Couronne, ses accusateurs.