Le français, langue du commerce
Avant de recourir à la « police de la langue » qui a parfois mauvaise presse, il serait sage que la ministre mette fin à l'immobilisme face à la loi 101 et demande qu'on ne joue plus sur les mots à sa place.
Infatigable militant pour le français, Jean-Paul Perreault a fait sentir sa présence de façon utile en rappelant à Québec son engagement à sensibiliser les marchands de l'Outaouais à l'importance de faire commerce dans la langue de Molière. Certains s'offusquent parfois de ses manières cavalières, mais M. Perreault a raison de secouer l'inertie à la fois des commerçants insensibles à l'importance de la Charte d...