Le dernier mot
À l'automne de l'an 2000, j'ai eu l'honneur de présenter un mémoire à la Commission des États généraux sur la situation et l'avenir de la langue française au Québec (commission Larose). Convaincu qu'il advient des peuples ce qu'il advient de leur langue, il m'était apparu que cette consultation de la société civile tombait à point nommé, la «question de la langue» donnant lieu à un débat qui, chez nous, refait surface ...