{{Le gâchis de l’élection de 2014 }}
Après la défaite de 2014
Le Parti Québécois doit redevenir une coalition
Le PLQ de Philippe Couillard prend, en effet, le pouvoir avec sa coalition d’une minorité d’électeurs francophones conservateurs et d’une concentration des électeurs anglophones et allophones, ces derniers votant en masse pour son parti. Les électeurs francophones nationalistes représentent, en effet, environ 71 pourcent du vote francophone, ce dernier s’étant émietté entre le PQ (35%), la CAQ (27%) et QS (9%). Si ceux-ci ne divisaient pas leurs votes, ils seraient en permanence au pouvoir à Québec.