Hold-up à Bruxelles
«La souveraineté ou la vie» nous dit Barroso
S’il est une leçon à tirer de l’exemple grec, c’est dans sa devise qu’il faut aller le cherche : « La liberté ou la mort » : Ελευθερία ή θάνατος.
A la lumière de ce passé, il faut comprendre que non seulement le choix politique existe, mais qu’il est criminel de penser que notre sort sera mieux assuré si nous le mettons entre les mains de puissances étrangères. Aucune puissance étrangère ne prendre en compte nos intérêts à notre place, ne veillera à notre bien être ou à préserver nos droits et ceux de nos enfants. Le choix que Barroso nous propose n’est pas d’échanger le nationalisme contre la paix. C’est d’échanger la liberté contre une tyrannie globale, contre des promesses illusoires de prospérité. Cela n’est pas seulement absurde, c’est une trahison.