La patrie en danger: urne électorale ou funéraire?
En dix-huit ans, je me suis bouché le nez à chaque élection (provinciale dans tous les sens du mot). Ç’a fini par provoquer une sinusite politique virulente et purulente. Le Parti québécois a poussé chaque fois devant lui la peur de la catastrophe pour ramasser des votes et il survit, à défaut de se réformer ou de disparaître, par sa manipulation consciente de la peur : exactement la même stratégie que le Parti libér...