La boue et le balai
Et disons-le franchement, un maire incapable de parler anglais, dans une métropole nord-américaine, ça fait drôlement ringard.
On n'est pas sorti du bois. Dans la foulée des scandales qui ébranlent l'hôtel de ville, ce sont tous les Montréalais qui pataugent dans la boue, et il faudrait plus que le balai de Louise Harel pour nettoyer les dégâts. Il faut appeler la police, trouver les coupables, démolir les cartels mafieux qui se partagent la manne en refilant aux contribuables des factures astronomiques et un boulot mal fait. Même ap...