Un cheval de Troie chez les féministes
FFQ, un féminisme anglosaxon
La présidente de la FFQ, Alexa Conradi, estime dans Le Devoir (1) que privilégier le principe affaiblit le droit des femmes à l’égalité. Cette vision de l’humain est la cause même de la rupture récente entre féministes québécoises.