Le PQ est surtout la cible d’une nouvelle génération militante «de gauche» absolument allergique au nationalisme québécois
Comment expliquer la haine antipéquiste?
On aurait pu souhaiter, et on peut encore souhaiter, que la prochaine élection se transforme en référendum antilibéral. La chose se passerait ainsi: après quinze années presque ininterrompues de gouvernement libéral, la population, dans un immense ras-le-bol, décide de se reporter sur le parti ayant le plus de chance de renverser le PLQ.