Un président discrédité
Si la salle était pleine, personne n'écoutait, hier, lors du passage à l'ONU de George Bush
Le président américain George Bush s'est adressé hier à l'Assemblée générale de l'ONU. Si la salle était pleine, personne n'écoutait. Des applaudissements polis ont fermé sa harangue. Les lancinantes tirades du président sur la nécessité d'exporter la démocratie et la liberté n'attirent plus l'attention tellement l'homme est discrédité, aux États-Unis comme à l'étranger. Elles masquent en fait l'échec de la politique...