Faut-il protéger le marché immobilier montréalais de la spéculation internationale ?
VOS FINANCES
Après Vancouver et Toronto, pourquoi pas Montréal?
Il serait naïf de croire que Montréal ne connaîtra pas les débordements de l’imposition d’une taxe immobilière pour les acheteurs étrangers, qu’ont connus d’abord Vancouver, puis Toronto. Les acheteurs internationaux se font, d’ailleurs, plus nombreux dans le Grand Montréal ces temps-ci. Mais les conditions ne sont toujours pas réunies pour qu’une fièvre spéculative embrase les prix de l’immobilier résidentiel montréalais.